top of page

Éloïse, Femme-de-la-lune

(Kasàlà)

Éloïse   

Femme-de-la-lune   

Ta puissance se révèle au reflet de cette grande prêtresse   

Quand tu danses avec elle dans le temps suspendu de la nuit  

Tu es un diamant brut   

Qui transperce les ténèbres   

Et rallume les phares de nos profondeurs oubliées   

  

Tu honores chaque jour notre terre Mère   

Sage et sauvage  

Et même si ton cœur pleure en secret les larmes de son corps abîmé  

Tu foules son sol de tes pas amoureux  

La remerciant d'être toujours là  

  

Eloïse Danielle Wladyslawa   

Le son de tes racines transporte la beauté d’un ailleurs  

Traversant les montagnes et les mers, les langues et les guerres   

Il vibre des tambours vaillants des femmes qui t’ont vu naître  

Ta mère Doris, ta grand-mère Danielle sans oublier Dalida  

Guerrières de paix et gardiennes de vie  

  

Wladyslawa   

Fleur tendre qui enfante le soleil   

Tu as nagé l'Atlantique pour rencontrer le tien  

Trésor aujourd’hui prêt à se dévoiler en pays celte ou slave   

Il réchauffera la terre que tes mains caresseront   

Oui, c’est le grand départ !  

Le seuil d’une nouvelle épopée, de ta grande envolée  

Et pour t’accompagner, regarde dans ta poche  

Une petite fée est là et deux anges arrimés  

  

Moi, Manon, ta sœur d’âme  

J’observerai ce grand déploiement depuis l’autre rive  

Et même si ton départ me rend triste

Je me réjouis de continuer à voyager à tes côtés   

Dans les mondes subtils sans temps ni espace  

 

Nous continuerons nos longues marches  

Nous continuerons nos fous rires  

Et nous nous délecterons des silences pleins de beauté

Dans nos yeux qui contemplent la mer  

bottom of page